A l'occasion de la IVe performance du Mur de Bordeaux, retour sur quelques réalisations de Kashink, street artiste engagée riche de toutes les diversités.
"Le street art ce n’est pas juste joli. C’est important qu’il y ait un message. Etre artiste c’est aussi avoir une pensée, une réflexion sur le monde qui t’entoure."
Du projet "50 Cakes of Gay" aux collaborations avec les écoles, de Montreuil à Miami, les portraits colorés de Kashink donnent à voir d'étranges personnages aux regards double. Selon le point de vue, leur expression change. Ils portent moustache comme leur auteure, un trait de noir que la tatoueuse qu'elle aurait pu être continue de dessiner en signature à ce décalage assumé.
Le Mur de Bordeaux lui confie la quatrième performance avec la participation des enfants de l'école jouxtant ce mur, déjà conquis par cet univers de couleurs où le regard importe plus que tout.
Projet de "50 CAKES OF GAY", film Charles Devoyer (2013).