Là, à dix semaines d'écart, dans ces moments vides du train, aux heures habituelles d'insomnie et ce qu'on brasse dans la nuit, revenaient ces images de l'incendie du Hilton, la déambulation dans ces galeries vides, les rues noires et venteuses où nous errions, les mystères de la ville dans sa splendeur la plus contemporaine réduite à ce labyrinthe de courants d'air.
François BON - L'Incendie du Hilton